Rencontre annuelle SSQ - 01 janvier 2017
Une rencontre annuelle teintée d’humour
SSQ une entreprise à découvrir!
C’est à la salle Albert Rousseau hier, que les employés D’SSQ étaient conviés à la rencontre annuelle avec le PDG M. Jean-Francois Chalifoux. Qu’on se le dise, 2016 a été une année de turbulance pour les employés à cause de la transformation et des changements que SSQ a effectué. Le changement fait toujours peur. Le changement implique souvent différentes décisions qui ne plaisent pas à tous et c’est normal. Mais dans la vie, comme dans tous les domaines nous avons besoin de changements. Reculons de quelques années, nous avions comme moyen de transport les chars à crottes et dans quelque temps nous aurons des voitures intelligentes qui se conduiront toutes seules. Entre les deux, il y a eu les voitures au gaz, au diésel et même électrique, heureusement qu’il y a eu de l’innovation et de l’évolution car aujourd'hui en 2017 nous aurions l’air un peu fous.
Plus de 2100 employés travaillent dans les bureaux de Toronto, dans la nouvelle tour SSQ à Longueuil et à Québec où est situé le Siège Social. L’entreprise voit grand et voit loin depuis longtemps. Cette année SSQ fête ses 73 ans ce n’est quand même pas rien. Durant toutes ces années, il y a eu des hauts et des bas comme dans toutes les entreprises, mais SSQ a toujours réussi à se sortir la tête de l’eau en innovant. Que ce soit en Assurance Collective, en Assurance de dommages ou en Assurance Individuelle, SSQ se veut une entreprise proactive et audacieuse. Les valeurs à la bonne place et l’expérience client font en sorte que SSQ se démarque des autres compagnies d’assurances.
Normalement une rencontre annuelle, pour la majeure partie des gens, c’est long et c’est ennuyeux. On parle de chiffres, de revenus, de dépenses, bref un jargon qui n’intéresse pas tout le monde. SSQ a trouvé une excellente facon d’intéresser les employés en y proposant des mises en situations teintées d’humour. Même les hauts dirigeants de l’entreprise ont embarqué dans le jeu en y mettant leur talent de comédien à l’épreuve. Tout le monde s’est senti impliqué. Le message a été clair SSQ veut devenir la destination d’assurances préférées, et quelques soit le département, le client doit sentir qu’il est à la bonne place. Pour y arriver, il ne faut pas se cacher la tête dans le sable, c’est nous les employés qui avons la clef. Il nous faudra collaborer ensemble, avoir du respect les uns envers les autres, être professionnels et avoir à cœur nos résultats.
Mes opinions
Les gens qui me connaissent vous diront que je n’ai pas la langue dans ma poche. Que je n’ai pas peur de mes opinions et que même si parfois je ne fais pas l’unanimité et bien je vis très bien avec ca. Ce qui m’amène à vous parler de la famille et du travail.
Dès qu’un petit bébé tout neuf arrive dans une famille, il est le plus beau et le plus fin. Même s’il n’a que quelques mois, nous sommes tous en pamoison devant lui. On en parle comme s’il était le bébé le plus intelligent du monde. Et pourtant, désolée de vous décevoir mais ce ne sont pas tous les bébés qui sont beaux et intelligents. Là, c’est certain que je ne me ferai pas d’amis, mais que voulez-vous, c’est mon opinion.
Un bébé, c’est un bébé, mais, quand c’est le nôtre, c’est différent. L’attachement qu’on a envers lui dès le départ n’est comparable à rien. C’est impossible de mesurer la fierté qui nous habite. D’un seul coup, grand est ce sentiment d’appartenance que nous avons envers ce petit être qui fait parti de notre famille.
Tout le monde a besoin d’avoir un sentiment d’appartenance, que ce soit dans un groupe d’amis, dans une famille ou au travail. Martin Matte en a fait la preuve avec la série ‘’Les beaux malaises’’. Presqu’à chaque épisode, les trois acolytes sont assis sur un banc avec leurs raquettes de tennis. Martin et Patrick (Patrice Robitaille) se lèvent pour aller jouer. Francois (Martin Perrizollo) reste là, seul sur le banc des innocents à les regarder. Jamais, ils ne lui demandent de jouer et pourtant, il est toujours présent. Plusieurs diront qu’il est l’ami rejet. Que Martin et Patrick n’en ont rien à foutre de lui. Moi, je vais aller plus loin que ca. D’abord, dites-vous que s’ils prennent le temps de l’informer qu’ils s’en vont jouer au tennis, c’est qu’ils veulent qu’il soit là. Ils sont loin d'être indifférents envers lui. .Francois dans sa tête et dans son coeur, il fait parti du trio, car il est toujours invité. Oui, c’est vrai peux-être qu’il aimerait jouer une partie de tennis, mais au-delà de tout ca, il a un sentiment d’appartenance, il fait parti de la gang. Souvent en tant qu’employés nous avons tendance à penser que les grands penseurs de ce monde n’en ont rien à foutre de nous, mais on se trompe.
Depuis sept ans, je suis une employée de cette compagnie d’Assurances et j’en suis fière. Bon, je sais que sûrement il y en a qui se dises ‘’Tiens v’là la licheuse’’ Et bien, ca me tente de vous répondre. J’ai 56 ans, et je suis une femme libre. Libre de faire ce que je veux et quand je veux. Depuis mon très jeune âge, quand je ne suis pas heureuse quelque part, je vais parquer mes shoe clak ailleurs. Si je travaille chez SSQ c’est parce que j'apprécie cette entreprise, j’adore ce que je fais et j’aime les gens qui y travaillent. Pas tous naturellement, ce serait vous mentir. Mais, je ne suis pas obligé d’aimer tout le monde avec qui je travaille mais je me fais un devoir d’apprendre à travailler avec eux.
Savez-vous quoi? Quand j’arrive au coin du blv Laurier et de Robert Bourassa et que je vois les immeubles SSQ, je ressens une fierté. Bon, c’est certain que je ne suis pas la propriétaire de ces immeubles, mais à l’intérieur de ces bâtisses, il y a des milliers de cœurs qui battent chaque jour afin d’offrir le meilleur service possible à la clientèle et le mien mon cœur, fais parti de la gang. J’ai ce sentiment d’appartenance qui fait en sorte que chaque jour devient pour moi un nouveau défi. Et j’aime insuffler ce sentiment d’appartenance autant à mes collègues qu’à la clientèle.
Bien avant de faire partie de la grande famille d’SSQ quelqu’un m’avait dit en parlant de l’entreprise pour qui elle travaillait : J’ai donné 15 ans de ma vie à cette entreprise.
Moi, je lui avais répondue : Non, tu as été payé durant ces 15 années et il y a des jours où tu n’as pas donné ton 100% pour différentes raisons et malgré tout tu as été payé quand même.
J’ai ma facon de penser qui n’est peut-être pas parfaite, mais c’est la mienne. Je reste convaincue que si nous y mettons chacun de nous un petit peu plus chaque jour de notre créativité et de notre bon vouloir nous allons faire toute une différence.
Bien sûr, que ce soit dans notre famille ou au travail, il y aura toujours des lacunes et c’est normal mais nous faisons tous partis d’un clan et nous pouvons en être fiers.
En date d’aujourd’hui, l’entreprise a déjà une grande histoire en arrière d’elle, pensez-y une petite minute dans quelques années, quand vous serez à votre retraite vous pourrez dire :
Wow! Dire que j’ai fais partie des employés qui ont fait le succès d’ SSQ
Et c’est là que votre sentiment d’appartenance prendra tout son sens.
Message à Monsieur Chalifoux
Vous avez eu une idée géniale de réunir tous les employés dans un autre cadre que celui du travail. Et si on se donnait rendez-vous non pas dans 10 ans car j'en aurai 66, mais l’année prochaine à la même heure et à la même place, toujours sous le signe de l'humour!
Pour ceux qui désirent en apprendre davantage sur l’histoire de SSQ
https://ssq.ca/a-propos/histoire
Lyne Laroche