Dennis Deyoung - 31 janvier 2012

(18 août 2012)

DENNIS DEYOUNG

Expo Québec

Une soirée survoltée, une foule endiablée et enchantée. Une place bondée de fans a profité de l’énergie débordante de Dennis DeYoung et de son équipe. Un spectacle rôdé au quart de tour. Du pur Styx.

Dès la deuxième chanson, Lady, la foule était en délire. Les succès se sont enchaînés, Lorelei, Blue collar man, Don’t let it end et Mr. Roboto. Puis un invité spécial, Jean Ravel qui participe régulièrement depuis quatre ans, aux spectacles que donne Dennis DeYoung en Amérique, a fait un duo avec ce dernier dans One hundred years from now remplaçant Éric Lapointe qui avait déjà fait ce duo avec Dennis DeYoung.

Il s’est adressé en français à plusieurs reprises pendant le spectacle, nous le rendant encore plus attachant. « Bonjour mes amis. Comment ça va? Moi ça va très bien. Je suis très content d’être de retour. Je vous oublierai jamais. » Puis avec son acolyte August Zadra, il nous a joué un Don’t let it end acoustique à faire chavirer les cœurs. Un Renegade et un Too much time on my hands, comme à ses premières heures.  

« Je suis marié depuis 42 ans et j’ai écrit cette chanson pour ma femme au tout début. » a-t-il clamé avant d’entonner Babe. Des duos de guitares électriques entre August Zadra et Jimmy Leahey éblouissant et étonnant. Des solos de Dennis DeYoung au clavier à couper le souffle. Tom Sharpe (batterie), Craig Carter (basse), John Blasucci (clavier) et Suzanne DeYoung(choriste) complétaient le groupe magistralement. « Let’s pretend it is all ready done! ». Un rappel sans sortie de scène avec Come sail away et le chœur de l’assistance. Assez impressionnant.

Du grand Dennis DeYoung : harmonie vocal, effets sonores et jeux de lumières tout y était. Une soirée mémorable, du pur bonheur.

Louiselle Lavoie